Parmi les merveilles et curiosités que possède le trésor de notre cathédrale, ces pyramides reliquaires ont requis des soins particuliers pour assurer leur conservation.
Le restaurateur a avancé suffisamment d’arguments pour dater finalement ces pièces du XIXe siècle, copies du style Boulle.
La remise en question de leur datation entraîne celle de leur origine. Les archives étant muettes à leur sujet, on peut espérer en savoir plus sur ces pièces par l’analyse des reliques qu’elles renferment, chaque ordre ou congrégation religieuse ayant des dévogions particulières à certains saints plus qu’à d’autres.